il y a des fois où tout commence par une collision.
et toi tu es de celles-là
-bas, amant des vitesses
shiftées.
il y a des points qu’on n’ose pas mettre
à la fin de chaque mot,
par soupirs
ou par égards pour les pertes
chaque fois qu’on n’ose pas laisser
être.
je savais
comme tu savais
qu’il n’y avait d’espoir
que dans le mot lui-même,
que dans ce mot qui luit
même
dans la slotche des yeux
grafignés.
il y a des nuits où tout finit par une collision,
celle en laquelle tu crois
la retient entre ses doigts,
tiens.