Presque arrivée, à Hiroshima.
Qu’est-ce qui sera en carton, à Hiroshima ?
(Prononcez tout cela d’un intonation finale montante emmanuelle-rivaesque. Ça pourrait s’éterniser mais je vais m’arrêter, de toute façon, je suis même pas rendue, à Hiroshima. Que les muffins, les gobelets, les toilettes et les pancartes cheap soient en carton ou pas, au fond, ce n’est pas utile comme information.)
Bon, ce peu de mots pour dire que j’ai trop de choses à dire (clin d’oeil à la célèbre réplique familiale : « X, je t’appelle pour te dire que je n’ai rien à te dire »…). Mais comme faut bien commencer quelque part, voilà : je suis en transit à Narita (Tokyo), presque rendue à Osaka, presque rendue à Hiroshima. Hé oui, j’y étudierai, à Hiroshima. C’est pour ça que je suis là, mon portable branché sur un kompyuutaa desuku en buvant du mugicha et en me demandant non mais franchement, qu’est-ce que je fais là (voir la phrase précédente pour la réponse, peut-être pas suffisante toutefois).
Bon, je vous jure, des fois je serai plus drôle.